Quelque soit la douleur, physique ou émotionnelle, il est fort probable que nous passions par une, des ou toutes les phases comportementales suivantes : 

1. La douleur et le sentiment d’inadaptation qui s’y rattache, préoccupent. 
2. Une confiance aveugle en la médication et une dépendance médicamenteuse. 
3. La peur, l’incapacité à faire face au problème et une dépendance quotidienne à autrui peut amener à l’anxiété ou à la dépression. 
4. Une addiction aux consultations à la recherche constante de la guérison. 
5. Prenant la douleur comme excuse, la personne s’enferme sur elle-même et s’exclut de toute vie sociale. 
6. La sexualité devient inconfortable et s’éteint. 
7. Comportement irrationnel, hystérique, autodestructeur. 
8. La personne justifie sa douleur en portant la douleur du monde. 
9. Peur immobilisante, qui restreint plus qu’il ne devrait et freine la guérison. Peur irrationnelle de la solitude. 
10. Fatalité, pessimisme poussé, à l’attente de l’échec. 
11. « Châtiment Divin » Je suis coupable de ce qui m’arrive et j’accepte la douleur. 
12. Le problème devient la raison d’être. « Mon mal, ma vie… » 
13. Elle devient une échappatoire pour éviter toute responsabilité. La personne se victimise. 
14. Celle-ci utilise une manipulation consciente ou inconsciente, afin d’obtenir ce qu’elle veut. 
15. Vivre à travers la douleur. « J’ai mal donc j’existe ». Accoutumance et dépendance à la douleur. 

La kinésiologie est une technique douce, respectueuse du corps et du rythme de chacun. 

Chaque séance est unique, car elle nettoie ce qu’elle peut nettoyer « ici et maintenant », avec les outils disponibles en notre possession, à « ce » moment précis. 

Parfois, il est nécessaire de devoir nettoyer d’autres problématiques, avant de pouvoir travailler sur l’objectif premier du client, car l’objectif prioritaire de ce dernier, n’est finalement pas celui dont il a conscience. Nous traitons ce dont le corps a besoin à l’instant « T », pour pouvoir accéder en douceur à son objectif premier. C’est son corps qui nous indique, par le test musculaire, le chemin le plus adapté pour lui. 

Le kinésiologue peut avoir à défuser un comportement inadéquat face à la douleur, avant de pouvoir continuer à travailler sur l’objectif réel de son client.